 Mot de la présidente
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Le Coin des échanges
Célébrations du 100e anniversaire de l'église Notre-Dame de Lourdes
Projets en marche
Éphémérides
Paroisse N.-D. De Lourdes - Les Curés
Article tiré du Moniteur Acadien - 14 août 1902
Record des habitants du Village du Bois 1899/1900
Résidents du Village de Memramcook-Est 1998
Article tiré de l'Évangéline - 5 mai 1898
Article tiré de l'Évangéline vers 1958
Article tiré du Moniteur Acadien - 2 mai 1907
Acte de mariage 1901 ...
Remerciements à souligner
Lignée du Père Zoël Landry, C.S.C.
Lignée d'Edgar Landry ..... Page 82
Article sur l'ordination de Frère Olivain LeBlanc
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MOT DE LA PRÉSIDENTE
Chers lecteurs et chères lectrices,
Une autre année mouvementée commence. Cette année, la paroisse de Notre-Dame de Lourdes à Memramcook-Est célèbre son centenaire. Il y a plusieurs activités organisées pour célébrer cet événement et nous espérons que plusieurs viendront fêter avec les gens de l’ancien “Village du Bois”.
Nous avons dédié ce Cahier pour commémorer cette occasion spéciale. Dans les prochains Cahiers de cette année il y aura aussi d’autres articles sur ce sujet. Nous en profitons donc pour souhaiter un bon anniversaire aux paroissiens et paroissiennes de Notre-Dame de Lourdes.
Nous avons plusieurs autres projets en marche et les activités de nos sous-comités se multiplient avec beaucoup de succès jusqu’à présent.
Nous désirons remercier tous ceux qui contribuent à ces différents projets et nous espérons que vous continuerez à l’avenir. Il n’y a rien de mieux que de se sentir appuyé pour être capable de continuer nos nombreux projets.
Notre nouvelle salle d’exposition sera ouverte au public cet été et nous vous encourageons de nous donner ou de nous prêter des objets que vous avez en votre possession et qui ont un aspect historique pour la Vallée. Nous compterons sur votre appui financier lors de votre visite. Notre exposition de photos anciennes se tiendra maintenant dans notre salle et non au Monument Lefebvre.
Nous vous invitons à l’assemblée annuelle de la Société le dimanche 26 avril 1998 à 14h00 (2h p.m.) au local des Chevaliers de Colomb à Memramcook-Est. Conférencier invité, le Père Guy Léger c.s.c.
Le banquet annuel aura lieu à la salle paroissiale de l’église St-Thomas de Memramcook à 17h00 (5p.m.) Conférencier invité, Monsieur Régis Brun.
Patricia Utley, Présidente
CAHIERS DE LA SOCIÉTÉ HISTORIQUEDE LA VALLÉE DE MEMRAMCOOK INC.
ENCORE DISPONIBLES
Vol. 1, No 1 Vol. 1, No 2
Vol. 2, No 1 Vol. 2, No 2
Vol. 3, No 2 Vol. 4, No 1
Vol. 5, No 1 Vol. 5, No 2
Vol. 6, No 1 Vol. 6, No 2
Vol. 6, No 3 - Vol. 7, No 1 Vol. 7, No 2
Vol. 7, No 3 Vol. 8, No 1
Vol. 8, No 2 Vol. 8, No 3
Les copies des volumes 1 à 6 No 2 disponibles se vendent à 3 $ chacune. Les copies des volumes suivants se vendent à 5 $ chacune.
Veuillez adresser vos commandes à l’adresse suivante:
SOCIÉTÉ HISTORIQUE DE LA VALLÉE DE MEMRAMCOOK INC.
C.P. 49
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Veuillez faire parvenir aux personnes dont le nom suit, la carte de membre d’un an et les Cahiers de la Société Historique de la Vallée de Memramcook Inc. pour l’année en cours.
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Régulier 15,00 $ (Can.) 20,00 $ (U.S.)
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Membre à vie 300,00 $
Institutions ou organismes 30,00 $ (Can.)
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LE COIN
DES ÉCHANGES
Nos échanges pour ce numéro sont les suivants: BULLETIN de la Société historique Machault Inc., Vol 1, no 3 Hiver 1998 dans lequel nous retrouvons un article “Dans le “Bon vieux temps” à Pointe-à-la-Croix.
BULLETIN de la Société historique du Comté de Restigouche, Vol 16, no1 dans lequel on nous parle de Mme Rose Délima Fournier, une arracheuse de dents et un historique du premier hôpital de Dalhousie.
Ven’d’est, No 77, janvier-février 1998 avec comme dossiers “Les intellectuels et la parole”; “Pierre Landry, de Campbellton aux Hansen”; SOS PME.
Fêtes du 100e anniversaire
Musée d’objets anciens du village et exposition de vieilles photos dans une salle de classe de l’école. Responsable: Juliette Landry
Fête de Famille - à la date de chaque fête, il y aura un brunch (fricot et buffet froid) à la salle de l’école après la messe. Responsable du brunch: Les Chevaliers de Colomb. Les billets seront vendus à l’avance pour chaque fête. La salle du musée sera ouverte de 10:30 à 4:00 p.m. La généalogie de la famille sera exposée (quand c’est possible).
Notez bien: les activités pour les fêtes de famille sont organisées spécialement pour la famille du jour, mais pas seulement pour eux. Tout le monde est bienvenu à toutes les activités.
D’autres projets ont été suggérés, mais ne sont pas encore organisés. Il y a de la place pour d’autres suggestions. Si vous voulez participer avec vos idées, votre aide, votre temps, BIENVENUE! Contacter Rose-Anna LeBlanc au 758-9303.
LES CURÉS
P. Alfred Roy, c.s.c. 1895-1918
P. Benjamin Lecavalier, c.s.c. 1918-1927
P. Napoléon Papineau, c.s.c. 1927-1928
P. Dismas LeBlanc, c.s.c. 1928-1934
P. Eugène Daoust, c.s.c. 1934-1949
P. Hector Léger, c.s.c. 1949-1952
P. Arcade Goguen, c.s.c. 1952-1958
P. Paul-Marie Thériault, c.s.c. 1958-1960
administrateur
P. Roland Bouchard 1960-1967
1er curé résident
P. Calixte Richard 1967-1971
P. Guillaume Pellerin 1971-1979
P. Irois Després 1979-1983
P. Armand LeBlanc 1983-1985
P. Emery Brien, c.s.c. 1985-1990
P. Edmond Gallant, c.s.c. 1990-1993
P. Guy Léger, c.s.c. 1993-1997
P. Daniel Deveau, c.s.c. 1997-
P. Édouard Labbé, c.s.c.
P. Joseph Fiset, c.s.c.
P. Dollard Morel, c.s.c.
Memramcook-Est. - L’Église que les habitants de cet intéressant et pittoresque canton viennent d’ériger au Seigneur sous le vocable de Notre-Dame de Lourdes, est un vaste temple, de grande proportion, gracieusement assis sur le monticule le plus élevé de l’endroit. La façade ressemble beaucoup à celle de l’église de Shédiac,; l’intérieur n’est pas encore terminé, mais on y admire déjà trois jolis autels d’un travail admirable qui sont sortis des ateliers de menuiserie de M. Sylvain R. Gaudet, l’énergique entrepreneur de Memramcook-Ouest. Le maître-autel est surmonté d’une admirable statue de Notre-Dame de Lourdes, et les deux autels latéraux sont dédiés l’un au Sacré-Coeur de Jésus et l’autre à Saint Joseph. L’église est chauffée par une fournaise à air chaud qui donne entière satisfaction. Les habitants de cette nouvelle mission méritent les plus hautes félicitations sur leur esprit de foi et pour les sacrifices qu’ils se sont imposés pour se pourvoir d’une aussi belle église. Disons ici qu’ils attribuent une bonne partie du succès de leur entreprise à la généreuse coopération de leurs anciens co-paroissiens de St-Thomas de Memramcook, et à la sage et énergique direction de leur pasteur, le Très Révérend Père Roy. Le représentant du Moniteur offre l’hommage de ses remerciements à M.
Auguste Dupuis, l’un des plus ardents patrons des oeuvres paroissiales, qui a bien voulu lui faire visiter l’église.
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M. Onésime Landry est à se construire une jolie maisonnette.
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M. Jacques Dupuis, qui demeure depuis dix-neuf ans aux États-Unis, est en visite chez ses bons parents, M. et Mme Ives Dupuis. Le visiteur est employé dans une grande fabrique d’automobiles du Connecticut. C’est un aimable garçon, rempli d’intelligence, qui a su mériter la confiance des Américains tout en restant brave Acadien de coeur et d’action.
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Mme Joseph Dupuis, de Ludlow, Mass., en promenade chez ses parents depuis quelques semaines, doit retourner dans sa famille dans sept ou huit jours.
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5 MAI 1898
P.3, col. 2
On a commencé la construction d’une nouvelle église dans la paroisse de Memramcook, le Village du Bois, un établissement considérable situé en arrière des premières terres de la rive-est de la rivière, compte une population nombreuse qui augmente rapidement. Avec l’assentiment de l’autorité religieuse, les habitants ont résolu d’élever un temple au Seigneur dans leur village, et les travaux ont commencé lundi de la semaine dernière. De cinquante à soixante hommes travaillent tous les jours aux fondations, et le Père Roy, qui s’y rend chaque jour, est enchanté, édifié du courage et de l’énergie qu’on déploie dans cette entreprise. La nouvelle église aura 90 pieds sur 40.
ARTICLE TIRÉ DE L’ÉVANGÉLINE
29 JUIN 1899
P. 3, col. 5
Nous sommes heureux d’apprendre que le nom du Village de Gouldville vient d’être changé en celui de Memramcook-Est et celui de McGinley’s Corner en celui de Memramcook-Ouest.
Les gens qui passent par St-Joseph et Memramcook ne peuvent s’empêcher de remarquer, sur le côteau qui domine la vallée, une rangée de maisons propres et coquettes et une église blanche qui dresse la longue flèche de son cloché dans le ciel.
C’est la paroisse de Lourdes, la plus jeune du diocèse de Moncton, dont l’érection ne date que d’un peu plus de deux mois, soit depuis le 8 juillet dernier.
Lourdes est une paroisse d’environ 125 familles qui jusqu’à juillet, était une desserte de la paroisse St-Thomas de St-Joseph, depuis 1898. Elle doit son église au R.P. Alfred Roy, c.s.c., qui la faisait construire tout en haut du coteau, dominant la vallée et toute la région en 1898.
Les RR. PP. De Ste-Croix desservirent cette mission y célébrant la messe chaque dimanche. Le dernier desservant en fut le R.P. Paul-Marie Thériault qui céda sa place au R.P. Bouchard lors de l’érection de la desserte en paroisse.
Le premier curé de Lourdes, le R.P. Bouchard, est originaire du Lac St-Jean. Né à Chicoutimi, il fut initié dès sa plus tendre enfance à la discipline par son père qui était gouverneur de la prison du Lac St-Jean. Après ses études primaires et secondaires à Chicoutimi, il entrait en 1932 chez les Pères de St-Sacrement, à Montréal où, après avoir été reçu prêtre, il s’est dévoué pendant huit années comme prédicateur de missions paroissiales dans le Québec, l’Ontario et même en France.
C’est à son retour de Paris qu’il se donna à l’Acadie dans le diocèse de Moncton. Il fut vicaire à la cathédrale l’Assomption puis curé à Haute-Aboujagane et finalement il devenait le premier curé de la paroisse de Lourdes. Il sera, nul n’en doute, un digne successeur des prêtres qui se sont occupé de cette paroisse depuis la construction de son église, les RR. PP. Lecavalier, Plouffe, Lapointe, Fiset, Martin, Gendron, D’Aoust, Lapalme, Goguen, Médard Daigle et René Lauzon, tous de la congrégation de Ste-Croix.
C’est au R.P. Daigle que l’église doit son magnifique orgue qui fait la fierté de la paroisse.
La grotte, construite par le R.P. Paul-Marie Thériault, qui fut 12 années desservant de Lourdes, sans être une réplique de celle de Fatima, illustre ce miracle des apparitions de la Vierge à l’humble fillette Bernadette Soubirous. Pour répondre au désir de S. Exc. Mgr. Robichaud, l’abbé Bouchard veut en faire un lieu de pélérinage pour tout le diocèse, contribuant ainsi à répandre une autre belle dévotion à la Ste-Vierge.
Déjà beaucoup de gens viennent prier devant cette grotte et recueillir de son eau qui jaillit d’une source abondante. Un puits creusé tout près, pour le presbytère en voie de constructioin, a révélé à 62 pieds de profondeur une veine d’eau intarissable.
Ce presbytère sera tout à l’honneur de la paroisse. Sa construction avance rapidement et nous en publierons la photo dès qu’il sera terminé. Ce n’est rien de luxueux mais c’est moderne, simple et de belle apparence. “Ce n’est pas ma maison, de dire le Père Bouchard, c’est la maison de votre curé, pour aujourd’hui et demain, peu importe qui il est”.
Le R.P. Bouchard a l’ambition bien légitime de faire de Lourdes la plus belle paroisse du diocèse de Moncton. La géographie de la paroisse s’y prête bien, mais dans une paroisse ce sont les âmes qui comptent et les âmes des paroissiens de Lourdes sont généreuses, chrétiennes, pieuses.
Déjà, l’organisation paroissiale se dessine. On a établi un premier conseil des Dames de Ste-Anne dont Mme Willie-A. LeBlanc est présidente et Mme Lumina LeBlanc, vice-présidente. M. Claude Bourque préside une Ligue du Sacré-Coeur bien active. Les Lacordaires sont aussi pleins d’ardeur et une chorale paroissiale est en voie de formation. L’église elle-même sera rénovée. Les écoles, dont la première remonte à 80 ans, dispensent l’enseignement jusqu’à la 6e année. A partir du grade 7, les enfants doivent se rendre à l’école supérieure régionale de Memramcook, à St-Joseph.
Tout ne se fait pas en une journée. Le curé Bouchard, dont le zèle ne connaît pas de bornes est aussi un réaliste. Mais il est surtout un optimiste. “La vie est belle!” aime-t-il à répéter. Elle est belle quand on sait l’embellir, quand on sait en faire, chaque jour, une prière qui monte vers Dieu, une offrande en vue de la gloire du Seigneur.
Et à Lourdes, les paroissiens n’ont qu’à se tourner vers l’église pour connaître le vrai chemin, le chemin qui monte, le chemin que leur indique fièrement la flèche du clocher qui pointe vers le ciel.
Le R.P. Fiset, malgré sa surprise, sut dire combien il était touché des témoignages d’attachement qu’il recevait. Aussi bien, nous dit-il, c’est ici qu’il a administré pour la première fois le saint baptême, ici qu’il a entendu ses premières confessions, qu’il a chanté sa première grand’messe.
Nous souhaitons au bon Père Fiset, qui fut un collaborateur dévoué de l’Évangéline, de longues années encore de fructueux travaux.
1954
M. et Mme Fred-R. LeBlanc rendaient visite à leur fils, dimanche le 23 juin, qui était entré au monastère en septembre dernier.
Samedi le 29 mai, les Croisés de Lourdes, accompagnés du Père Lauzon, de l’instituteur et des deux institutrices, se sont rendus au stadium de Moncton où ils ont assisté au grand congrès diocésain de la Croisade Eucharistique. Ils ont fait le voyage en autobus.
Le triduum marial, prêché par le R.P. René Lauzon, c.s.c. et de deux Pères de Ste-Croix, fut suivi du 20 au 23 mai avec beaucoup de piété et d’assiduité. Ce triduum était dédié à Notre-Dame de Lourdes. Un grand nombre de paroissiens assistaient à chaque exercice et la plupart reçurent la sainte communion. Il y a eu procession de la statue de la Ste Vierge. Le 17 juin, Fête-Dieu, avait lieu la première communion de plusieurs enfants et la réception du scapulaire du Mont-Carmel.
Dimanche, le 13 juin, avait lieu à la salle paroissiale une assemblée générale des Lacordaires et Jeanne d’Arc. L’assistance était nombreuse. Le P. Lauzon agissait comme conférencier.
1965
Des fêtes marquent le jubilé d’argent du R.P. Bouchard - À l’occasion du jubilé d’argent sacerdotal du curé, le Révérend Père Bouchard, les institutrices et les élèves de Lourdes ont voulu témoigner leur reconnaissance en le fêtant d’une manière toute spéciale mercredi, le 9 juin. Yolande Landry, élève de 1ère année, souhaita la bienvenue au curé. Par la suite, des sketches eurent lieu tels que “Que voulez-vous devenir?”, “Si je savais lire” - ”Les Pommes de Monsieur le curé” - “Richard pas maintenant”. De plus furent entendus des récitations, des chants: citons celui de “La vie est belle”.
Au nom de tous, Gérène Breau lut une adresse et Diane LeBlanc présenta la bourse. Le curé clôtura cette fête par des paroles encourageantes. D’abord, il félicita ceux et celles qui l’avaient organisée. Il a ajouté: “Je garderai un bon souvenir de cette fête anniversaire et j’aurai une pensée à chaque jour, pour chacun de vous afin que vous puissiez réussir vos examens.
1901
Ce vingt neuf avril mil neuf cent un après la publication d’un ban de mariage faite au prône de la messe paroissiale entre Onésime Landry, fils majeur de défunt Ambroise Landry et de défunte Julie Cormier de cette paroisse d’une part, et Généreuse LeBlanc, fille majeure de Pascal LeBlanc et de Sophie LeBlanc de cette paroisse d’autre part, vu la dispense de deux bans de mariage accordée par Sa Grandeur Mgr. T. Casey, évêque de St Jean, et ne s’étant découvert aucun autre empêchement, Nous, prêtre soussigné, avons reçu le mutuel consentement de mariage des susdits époux en présence de Joseph LeBlanc et d’Emma Landry et leur avons donné la bénédiction nuptiale. A. Roy, Ptre, c.s.c.
La célébration eût lieu à Notre Dame de Lourdes.
Fleurs naturelles pour les autels de l’église étaient cultivées par les soeurs Marguerite Belliveau et Aurélie, et apportées à pieds à l’église le samedi. Hector Gould prit la relève; lui aussi avait un jardin de fleurs réservé dans ce but.
Lumina LeBlanc s’est dévouée pendant plusieurs années pour nourrir le Père Thériault à sa demeure près de l’Église et aussi avant que le presbytère soit prêt à nourrir le Père Bouchard.
M. Willie Dupuis fut Maître de chant pendant 40 ans. Pendant plusieurs années, son fils Alyre Dupuis fut aussi chantre.
Les syndics à l’époque étaient: Honoré LeBlanc, Edouard Y. LeBlanc et Raphaël LeBlanc.
M. Fred M. LeBlanc fut impliqué comme maître de servants de messes pendant plus de 40 ans. M. Claude Bourque a pris la relève et il était très dévoué aux différents services de l’église.
Pendant les nombreux pique-niques du Père Thériault et Médard Daigle beaucoup de paroissiens et paroissiennes bénévoles se sont dévoués pour le succès de ces projets. On peut mentionner quelques noms comme Yvet LeBlanc, Philippe E. LeBlanc et Gillie E. LeBlanc et Léandre Dupuis.
Les fonts baptismaux au sanctuaire furent construits par Léandre Dupuis un autre paroissien qui s’est dévoué pour l’église.
Le chauffage à bois de l’église pour le dimanche était la responsabilité de Fred R. LeBlanc.
On ne peut pas mentionner chaque soloïste, à cause de l’espace restraint, mais voici quelques noms à souligner: Emma et Yvet LeBlanc, Willie et Alyre Dupuis, Alice et Jeanette Landry, Léonel Arsenault et la présente chorale sous la direction de Norbert Dupuis et l’organiste Rose LeBlanc.
Voici les sacristains et sacristines qui ont aussi donné de leur temps pour l’église: Alice Landry, Géraldine LeBlanc, Hervé Saulnier, Anna Cormier, Jeaninne Melanson, Maria LeBlanc.
Merci à Laurie Melanson qui a toujours été un fidèle décorateur de l’Église pour toutes occasions: Noël, Pâques, mariages, anniversaires de mariages, etc.
À quatre heures le samedi après-midi, tous les harnais par terre dans la cuisine pour les “polisher”, la peau de buffalo, les briques chauffées et les fanals; tout était prêt.
Dépendant des saisons, Johnny Melanson allait chercher le prêtre; celui-ci couchait à la sacristie et Johnny retournait le mener après la messe le dimanche. Léonel Melanson allait coucher avec Père Fiset, parce qu’il ne voulait pas coucher tout seul.
LIGNÉE DU PÈRE ZOËL LANDRY
c.s.c.
Le Père Zoël est le fils de Blair qui ép Dina LeBlanc, f d’André au petit Charlitte. Les enf. De Blair sont les suivants: Noël, jumeaux de Zoël; Hector, Elizabeth, Flora, Zélie, Fred, Allain et Oscar. Le père de Blair s’appelait Ambroise qui ép M-1 Julie Cormier, f de Jean, qui lui donna trois enf; Onésime, Elise et Osithe; M-2 à Dométhilde Cormier dont les enf suivent; Emerise, Célina, Edouard, Ambroise, Napoléon et Blair. Nous avons donc Zoël à Blair à Ambroise, à Beloni, mai 1809, à Benjamin était Amand Landry qui m Anne Melanson. Pour la suite de cette lignée ascendante, prière de vous en remettre à la généalogie de l’hon. David Landry à partir de la cinquième génération; Amand à Alexis, etc., jusqu’à René, 1634, que Placide Gaudet dit né à La Hève et qui ép Marie Bernard en 1659.
Nous avons vu plus haut que Benjamin, de son mariage à Perpetue Cormier, avait eu un fils du nom d’Ambroise, 1868. Or, cet Ambroise de son deuxième mariage à Dométhilde Cormier, eut aussi un fils du nom d’Ambroise, né le 14 février 1886, qui devait épouser en 1909 Jeanne Belliveau fille de Jude de Pierre à Michel. Ce couple eut trois enfants: Léo, Laura et Alfred. Au bout de 8 ans de mariage, ce dernier Ambroise décéda le 19 juillet 1917, à l’âge de 31 ans, à la suite d’un accident. Son épouse se maria en seconde noce à Willie à Thomas Gaudet dont elle eut trois enfants; Albion, Ulyse et Alyre. Son fils, Alfred, de son premier mariage, épousa Zoé Robichaud, originaire de St-Charles de Kent. Les enfants d’Alfred et de Zoé sont de la dixième génération.
LA LIGNÉE D’EDGAR LANDRY
par Hervé Richard
Edgar Landry est le président de l’Évangéline. Il épousa Marguerite Cormier. Ce couple a quatre enfants: Pierre, Jean, Charles et Diane. Onésime et Régina Arseneault sont les parents d’Edgar et un autre Onésime marié à Généreuse LeBlanc, ses grands-parents. La génération ascendante suivante eut comme chef Ambroise qui épousa en première noce Julie Cormier. Leurs enfants: Onésime, Elise et Osithe. Dans un deuxième mariage Ambroise se maria à Dométhilde Cormier dont les enfants suivent: (voir la lignée du Père Zoël Landry, publiée antérieurement).
Voici donc la filiation d’Edgar Landry: Edgar à Onésime à Onésime à Ambroise, 1868 à Béloni, mai 1809 à Benjamin, 1782, qui épousa Perpétue Cormier le 25 nov., 1806. Amand Landry, 1746, dont l’épouse était Nanette Melanson était le père de Benjamin. Pour la suite jusqu’au pionnier en Acadie, voir la lignée de l’hon. David Landry. Amand est de la cinquième génération (Amand à Alexis à Antoine à Antoine à René qui épousa Marie Bernard).
Le Père Edgar dont il s’agit ici est le fils d’Edmond à Dominique à Pierre à Joseph le gros, à Pierre à René, père, à René, fils, l’époux de Marie Bernard. Le Père Edgar d curé de Dorchester, NB. Sa mère, Madame Edmond Landry, âgée de 87 ans, est encore bien portante, demeurant chez sa fille Irène mariée à Maximilien Léger de la Hêtrière, Mck.
Qui ne se souvient pas de Paul Landry, cet artiste de la MACONNERIE, à l’emploi de compagnies américaines pendant bon nombre d’années, et qui fit ensuite sa résidence à Halifax, N.E. où il d il y a quelques années. Il avait ép Mélendée Gautreau de Mck, f d’Anselme. Ce Paul avait comme frères et soeurs: Arthur, d’Alice, Léonie, d’Adolphe, d, Phélonise et Macine.
Le père de Paul s’appelait Dominique, le frère de Maximin à Anselme à Laurent à Jean-Baptiste. A partir de MAXIMIN, nous rejoignons la lignée de Laurie à Abbey Landry jusqu’au pionnier que nous avons essayé de tracer.
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